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UNION des Auteurs et des Créateurs du Languedoc-Roussillon
6 mars 2016

BONNE NOUVELLE ! Notre ami, Michel Masméjean,

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BONNE NOUVELLE !

Notre ami, Michel Masméjean, avec son roman, "Le passé recomposé ou les jeunes années de Martin Maurel", est l'un des 3 nominés au Prix "Auteurs sans piston" qu'Édilivre organise chaque année.

Ce livre a obtenu la 1ére place au niveau de la Région du Languedoc Roussillon et il est parmi les trois livres, avec le lauréat de la région Île-de-France, Bertrand Chambertin, auteur de "Anti-manuel de séduction à l'usage des hommes exceptionnels" et avec le lauréat d...u Maghreb, Mohamed Benotman, auteur de "Mon nez à couper", en compétition au niveau national.

Ce concours était organisé sur toute la France, soit 27 régions y compris les pays francophones comme la Belgique, la Suisse, le Canada, les Dom-Tom et les pays du Maghreb, au total c'est plus de 400 auteurs qui ont participé à ce challenge.

Un jury composé de libraires, journalistes, romanciers confirmés va maintenant désigner lequel de ces trois livres leur paraît être le meilleur.

L'issue de ce concours sera connue au début du mois d'avril.

Nul doute que Michel Masméjean, d'ores et déjà ravi par le résultat, va attendre avec impatience la conclusion du jury.

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"Le Passé recomposé ou les jeunes années de Martin Maurel" Par Michel Masméjean

A commander ICI : http://www.edilivre.com/le-passe-recompose-ou-les-jeunes-an…

Prix : 21,00 €

EXTRAIT du livre :

« C’est au début du mois de janvier 1955 que nous avons rejoint mon père, promu chef de dépôt à la S.N.C.F en gare de Cerbère, une localité des Pyrénées- Orientales, située à la frontière franco espagnole. Entouré de collines, le village de Cerbère se love dans une calanque et veille sur la frontière entre les deux pays, comme le chien à trois têtes du même nom gardait dans la mythologie Grecque, la porte des Enfers. Quand nous sommes descendus du train, ma mère et moi, il faisait nuit. Mon père nous attendait sur le quai emmitouflé dans une épaisse canadienne. À la sortie de la gare un vent du nord soufflait en rafale, accrochés l’un à l’autre, nous avons tourné à droite puis après être passés sous un pont, nous avons pris à gauche un tunnel qui devait nous amener à l’appartement que mon père avait loué, en bordure de la plage. »

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